Voici un article fort intéressant !
Ces créatures qui montent de la mer témoignent que nous sommes dans les derniers temps et tout annonce la venue de l'antechrist :
Puis je vis monter de la mer une bête qui avait sept têtes et dix cornes, et sur ses cornes dix diadèmes, et sur ses têtes des noms blasphématoires. La bête que je vis ressemblait à un léopard ; ses pattes étaient comme celles d'un ours et sa gueule comme une gueule de lion. Le dragon lui donna sa puissance, son trône et une grande autorité. L'une de ses têtes était comme blessée à mort, mais sa blessure mortelle fut guérie. Remplie d'admiration, la terre entière suivit alors la bête. On adora le dragon parce qu'il avait donné l’autorité à la bête ; on adora aussi la bête en disant : « Qui est semblable à la bête et qui peut combattre contre elle ? » Apo 13.1-4
C'est l'annonce du chaos à venir....
EGLISE DE JESUS CHRIST REVEILLE TOI !
---------------------------------------------------------------------------------------
Les créatures des profondeurs indiquent des changements terrestres majeurs
Lorsqu'on prête attention à ce qui arrive aux animaux de la planète, ils peuvent nous en dire beaucoup sur l'environnement et prédire des changements que nous, simples humains, ne remarquerions d'ordinaire pas aussi rapidement (voire pas du tout). Comme les canaris qu'on utilisait autrefois pour détecter des gaz toxiques dans les mines de charbon, les animaux sont sensibles à des choses dont les humains sont souvent inconscients (avant qu'il ne soit trop tard), et remarquer ces « choses » peut parfois faire la différence entre la vie et la mort pour un grand nombre de personnes. Hormis d'être dotés de sens que ne possèdent pas les êtres humains, les animaux occupent aussi des endroits où nous ne sommes pas, comme les océans et les cieux, des endroits qui bordent notre espace vital et finalement l'impactent. Donc, ce qui leur arrive nous arrive souvent à nous un petit peu plus tard.
Récemment, j'ai remarqué ce qui paraît être une augmentation significative de comportements bizarres chez les animaux - en particulier, très récemment. Ici, je n'aborderai que la vie marine bien que des bizarreries similaires frappent d'autres animaux et insectes dans le monde. Commençons par quelques infos du début du mois de mai.
Des poissons rares et inconnus surgissent de partout.
Que diable se passe-t-il ?
Le 1er mai, on a annoncé la découverte d'un esturgeon noir rare de plus de 2 mètres et de 45 kilos le long du fleuve Connecticut.
L'esturgeon noir trouvé sur les rives du Connecticut en mai 2014
Le 3 mai, des pêcheurs de crevettes ont attrapé un requin-lutin au large de Key West, en Floride. On pensait que le requin-lutin était une espèce ne nageant que dans les eaux profondes du Japon et du Golfe du Mexique. Ces étranges créatures sont tellement rarement aperçues que ce n'était que la seconde observation connue dans la région. La toute première observation avait eu lieu 10 ans plus tôt.
Une créature d'aspect très étrange, pour sûr.
Encore plus étrange (peut-être la plus étrange de toute) fut l'annonce du 4 mai de la découverte d'un genre de poisson inconnu aux dents énormes sur une plage sud-africaine. On spécule que la créature pourrait être une sorte d'espèce mutante. Quoi que ce soit, c'est assurément bizarre.
Le même jour, un pêcheur a attrapé ce qu'on pense être un rare « Rhinochimaera » des profondeurs près de Pamban, en Inde.
Le 8 mai, un requin grande-gueule femelle des grands fonds extrêmement rare a été attrapé au large de la côte de Shizuoka au Japon. On pense que c'est seulement la 58e observation officiellement connue de l'animal et seulement la 13eau large du Japon.
Peut-être en lien, le 13 mai, de l'autre côté du Pacifique, 650 lionceaux de mer décharnés et déshydratés se sont échoués sur la côte californienne en deux mois, poursuivant une tendance de l'année précédente. L'article déclare :
L'article poursuit en expliquant qu'une étude a trouvé que les populations de sardines s'étaient effondrées de 74 % depuis 2007. Donc, si c'est la diminution des sardines qui affame les lions de mer, qu'arrive-t-il aux sardines ?
Le 16 mai, un rare cavalos des profondeurs (aux dents très acérées) a été découvert échoué sur le rivage en Caroline du Nord.
Le même jour, une monstrueuse méduse a visité les plages du sud-ouest du Pays de Galles, très au nord de son habitat d'origine dans les eaux plus chaudes de la Méditerranée. Méduse monstrueuse
Le 17 mai, un poisson très inhabituel et non identifié a été attrapé près d'une jetée à Pensacola, en Floride. L'article déclare avec assurance que « les chercheurs confirmeront l'identité de l'espèce », bien qu'il soit possible qu'il leur faille chercher dans les registres paléontologiques puisque les témoins oculaires ont dit qu'il avait l'air « préhistorique ».
Enfin, le 18 mai, un dauphin d'Électre qui vit dans les grands fonds a été secouruprès de Brunswick Heads, en Australie. Il a été relâché dans les eaux profondes mais est revenu vers le littoral peu de temps après pour s'échouer à nouveau sur la plage.
En plus de ces observations de poissons rares des profondeurs, il y a eu aussi plusieurs échouages de cétacés :
6 mai 2014 : Une baleine morte dérive dans le port de Felixstowe, au Royaume-Uni
7 mai 2014 : Le cadavre d'un grand cachalot pourrit sur la rive de Cap-Saint-George, en Terre-Neuve
13 mai 2014 : Découverte d'un cétacé flottant dans le fleuve Delaware à Philadelphie
15 mai 2014 : Une baleine à bosse s'échoue à Öffersey, en Islande
15 mai 2014 : Une carcasse de baleine franche australe de 20 tonnes s'échoue près du Cap, en Afrique du Sud
16 mai 2014 : Une baleine à bosse morte trouvée à Pareora Beach en Nouvelle-Zélande
Vous pourriez dire que les échouages de cétacés ne sont pas si inhabituels et, admettons, certains ont pu être pris dans des lignes de pêche ou heurtés par un bateau, comme le suggèrent certains articles, mais lorsqu'on considère le nombre toujours croissant de cas comme ceux de ces dernières années et les conditions qui les entourent, ainsi que tous les rapports d'autres hécatombes marines et de comportements étranges, il ne semble pas plausible que les accidents de pêche puissent expliquer tous ces cas. Les morts de cause naturelle, l'accident nucléaire de Fukushima, la marée noire de BP, pourraient aussi expliquer certains incidents, quoique à nouveau, probablement pas tous. Lorsqu'on rassemble toutes les données, on dirait que quelque chose de très étrange se passe là-bas dans les profondeurs.
Lorsqu'on lit tout ça, on pense aux observations autrefois « rares » de régalecs (alias « poisson séisme ») abyssaux. On trouve d'ordinaire les régalecs à des profondeurs comprises entre 200 et 1 000 mètres et lorsqu'on en voit près des côtes, on pense qu'ils sont les précurseurs d'un tremblement de terre. Les Japonais ont tendance à devenir très effrayés lorsqu'ils voient ces poissons dans leurs eaux ou sur leurs plages, et à juste titre. L'année qui précéda le tremblement de terre dévastateur de Tohuku et le tsunami en 2011, entre 10 et 20 créatures des profondeurs se sont échouées sur les côtes japonaises. Aussi, lorsque deux régalecs se sont échoués sur une plage du sud de la Californie en octobre 13, les gens du coin étaient naturellement un peu inquiets. Les deux spécimens n'auraient présenté aucun signe visible de blessure ou de maladie ce qui a amené les experts à faire l'hypothèse qu'ils aient pu être poussés vers le rivage par une « perturbation sous-marine ».
Déjà en 2014, des régalecs ont été observés sur les côtes du Mexique et du Japon.
Janvier 2014, Japon : Quelque chose va-t-il de travers dans les profondeurs océaniques ? Un régalec rare s'échoue sur une plage au Japon
Avril 2014, Mexique : Une séquence rare montre deux régalecs en vie nager près des côtes
Bien que la connexion entre régalecs et séismes soit communément qualifiée d'« ancienne tradition japonaise », il n'y a rien de mythique dans le fait que le mois d'avril 2014 a connu une augmentation record du nombre de séismes dans le monde :
Et :
L'article poursuit en disant que la « fracturation » pourrait être responsable d'une part de l'augmentation de l'activité sismique. Alors à nouveau, les scientifiques tendent à vouloir rendre l'activité humaine responsable de tout car cela renforce l'illusion que nous (ou les « autorités ») avons le contrôle des événements sur notre planète, même ceux qui ont un impact négatif. La dernière chose qu'« ils » veulent admettre est qu'il existe des forces à l'œuvre dont ils ne savent presque rien et peuvent encore moins contrôler, car cela a tendance à les faire paraître pas aussi légitimes que ça après tout. Et si les autorités sont impuissantes, vers qui se tourne le peuple pour être protégé ?
Séismes et...
Si les séismes et leurs dégagements gazeux naturels connexes, qui peuvent créer des zones mortes et forcer les migrations de la vie marine, pourraient au moins en partie être responsables de l'éloignement de ces animaux de leur habitat naturel, il semble logique que les volcans sous-marins jouent aussi un rôle significatif. En mai 2014, le plancher océanique sous les îles Mariannes dans l'océan Pacifique a connu un haut niveau record d'activité sismique et d'éruptions :
Cartes bathymétriques montrant les îles et les monts sous-marins qui constituent l'arc insulaire volcanique des Mariannes (à gauche) et la région du mont sous-marin Ahyi dans la partie nord de l'arc. Susan Merle du Programme Interaction Terre-Océan de la NOAA a créé ces cartes.
Une autre éruption sous-marine, également en mai et également dans le Pacifique, a donné naissance à une nouvelle île : un bébé île volcanique « mange » sa voisine plus âgée tandis que la Ceinture de Feu du Pacifique continue ses éruptions à un rythme sans précédent.
Le volcan Kick'em Jenny dans les Caraïbes a aussi menacé de se réveiller, constituant un risque de tsunami pour la côte des États-Unis.
Si la glace explosive est votre truc, il y a le volcan actif sous l'Antarctique qui pourrait entrer en éruption à tout moment.
En parlant de l'Antarctique, peut-être seriez-vous intéressés de lire le récent SOTT Focus d'Aeneas Georg sur la soi-disant « fonte de l'Antarctique » : L'Antarctique fond-il ou non ? Le réchauffement planétaire anthropogénique n'arrive pas à expliquer ce paradoxe climatique
La connexion avec l'ère glaciaire
D'autres facteurs affectant indubitablement le comportement des créatures marines sont la température de l'eau et les variations des courants. Certaines des couches les plus profondes de l'océan semblent se réchauffer (probablement à cause du volcanisme sous-marin, au moins en partie) tandis que les couches supérieures semblent se refroidir. De même, la force des courants de l'océan Atlantique a considérablement diminué ces dix dernières années, ce qui a entraîné le refroidissement de l'Atlantique subtropical.
Ceci est particulièrement intéressant (et inquiétant) parce que l'activité solaire est également en déclin et une faible activité solaire est associée aux ères glaciaires.
Selon un autre article sur le même sujet :
Étrangement, l'article poursuit en précisant :
Refroidissement temporaire ? Réchauffement planétaire à la rescousse ? Vraiment ?! Comment diable peuvent-ils dire ça alors qu'ils viennent juste d'admettre que le déclin actuel de l'activité solaire est plus rapide que ce que l'on a observé au cours des 10 000 dernières années et qu'ils ne savent pas vraiment ce qui se passe ? En outre, les prémisses de base du réchauffement planétaire dû à l'homme ne sont « même pas fausses ».
Le fait est qu'il n'y a eu aucun signe de réchauffement planétaire pendant plus de 17 ans et que le soleil est devenu plus calme. N'attendez pas des pontes des grands médias qu'ils l'admettent de sitôt, peu importe les faits. Leur boulot c'est de répéter comme des perroquets la ligne officielle du gouvernement que « le réchauffement planétaire est la cause de tous les malheurs qui arrivent ou pourraient arriver à notre climat/biosphère et que les humains en sont responsables ». Comme je l'ai fait remarquer, ils répugnent à admettre qu'ils ne peuvent rien faire pour protéger les gens des effets d'un changement à grande échelle de notre climat, et en effet, du « système » planétaire entier (à tous niveaux, semble-t-il).
Un autre indice qu'il faut prendre en compte dans ce mystère, c'est l'augmentation importante des événements météorologiques étranges et des tempêtes planétaires. Un article récent déclare que le territoire des tempêtes tropicales s'étend et qu'elles atteignent une force maximale près des pôles. De plus, les alizés s'accélèrent et les vents de l'océan Austral soufflent au plus fort en 1 000 ans, piégeant l'air froid au-dessus de l'Antarctique tandis qu'ils se renforcent.
Ce qui me sidère, c'est le fait que les climatologues savent bien que durant le dernier Petit Âge Glaciaire, les tempêtes ont augmenté de 85 % et l'incidence des tempêtes violentes de 400 %. On observe la même tendance à l'heure actuelle ainsi qu'un chaos général et des conditions météorologiques extrêmes dans toutes les zones de notre climat et de notre biosphère. Et pourtant, plutôt que de prêter attention au large panel de comportements étranges des animaux et de leurs relations avec le chaos environnemental, le seul animal dont les scientifiques semblent tirer une leçon est l'autruche et sa propension proverbiale à se fourrer la tête dans le sable.
Toujours est-il qu'il existe pléthore de preuves solides qui suggèrent que loin d'un « réchauffement planétaire », nous sommes déjà en train d'entrer dans une nouvelle ère glaciaire (qui pourrait finir par s'avérer bien plus importante que la dernière), accompagnée d'activités cataclysmiques croissantes tels que d'énormes tempêtes destructrices, des séismes, du volcanisme, entre autres événements « anormaux » sur toute la planète. Il n'est donc pas étonnant que les animaux se comportent étrangement. Peut-être essaient-ils de nous dire quelque chose d'important. La question est : quelqu'un écoute-t-il ?
source :http://www.wikistrike.com/2014/10/les-creatures-des-profondeurs-indiquent-des-changements-terrestres-majeurs.html