DESTRUCTION PROPHÉTIQUE DE L'AMÉRIQUE de A. A. ALLEN
Le 4 juillet 1954 au sommet de l'Empire State Building
La vision commence
Comme je me trouvais au sommet de l'Empire State Building, je pouvais voir la Statue de la liberté, illuminant la porte d'entrée vers le nouveau monde. Ici, devant moi s'étend comme une carte animée, une zone de 60 ou 80 kilomètres de diamètre. Je fus étonné que l'Esprit du Seigneur me transporte, là au sommet de l'Empire State building.
Pourquoi devrais-je ressentir une telle urgence et une telle puissance de son Esprit ?
Au sommet de l'Empire State Building, la vision du télescope géant
Soudainement, j'ai entendu la voix du Seigneur. Elle était aussi claire et distincte qu'une voix pouvait l'être. Elle semblait venir de l'intérieur même du télescope géant ; mais quand j'ai regardé le télescope, je savais qu'elle n'était pas venue de là, mais directement du ciel. La voix dit, 2 chroniques 16: 9,
"Car l'Éternel étend ses regards sur toute la terre, pour soutenir ceux dont le coeur est tout entier à Lui. Tu as agi en insensé dans cette affaire, car dès à présent tu auras des guerres".
Immédiatement lorsque j'ai entendu la voix de Dieu, je savais que c'était une citation de la Bible ; mais jamais une pareille chose ne s'était imposé à moi si fort par la puissance de l'Esprit.
Le chronomètre du télescope
Le compte à rebours du télescope s'est arrêté. L'homme (un touriste) devant moi avait utilisé toute la valeur de sa pièce de dix cents. Comme il s'éloignait, je savais que j'étais le suivant. Lorsque je pris place au télescope, j'insérai ma pièce de dix cents, et immédiatement le bruit du TIC-TAC recommença. Ce compte à rebours est un chronomètre automatique qui me permettait d'utiliser le télescope pour une durée limitée seulement.
Comme je basculais le télescope vers le Nord, l'Esprit de Dieu surgit sur moi d'une manière que je n'aurais jamais pensé auparavant. Vraisemblablement je fus entièrement enlevé dans l'Esprit. Je savais que le télescope n'avait rien à voir avec la distance à laquelle j'étais soudainement capable de voir, parce qu'il me semblait que je pouvais voir clairement les choses bien au-delà de la limite du télescope, comme par un jour ensoleillé. C'est simplement que cette fois, Dieu avait choisi de me révéler ces choses, parce que lorsque j'ai regardé à travers le télescope, ce n'était pas l'île de Manhattan que je voyais, mais j'avais une vue encore bien plus importante.
Le continent nord-américain visible comme une carte
Ce matin-là, la visibilité était en grande partie brouillée par le brouillard ; Mais soudain l'Esprit du Seigneur vint sur moi, le brouillard sembla s'éclaircir jusqu'à ce qu'il me sembla que je pouvais voir sur des milliers de kilomètres, mais ce que j'observais n'était pas l'île de Manhattan.
C'était l'ensemble de tout le continent nord-américain qui s'étalait devant moi, comme une carte étendue sur une table. Ce n'était pas la rivière East River ni le fleuve Hudson que je voyais d'un côté ou de l'autre, mais l'océan Atlantique et l'océan Pacifique ; et plutôt que de voir la Statue de la Liberté dans la baie sur sa petite île, je la voyais loin dans le golfe du Mexique. Elle était entre moi et les États-Unis.
J'ai réalisé soudain que le télescope n'avait rien à voir avec ce que je voyais, mais qu'il s'agissait d'une vision venant directement de Dieu. et pour me le prouver à moi-même, j'ai éloigné mes yeux loin du télescope afin de ne plus regarder à travers la lentille, mais la même scène est restée devant moi.
Les grandes villes américaines
Là, clair et distinct, j'observe tout le continent nord-américain, avec ses grandes villes. Au nord, il y a les Grands Lacs. Loin vers le nord-est était la ville de New York. Je pouvais voir Seattle et Portland loin vers le Nord-Ouest. Sur la côte ouest, il y avait San Francisco et Los Angeles. Plus près à l'avant-plan il y avait aussi la ville de la Nouvelle-Orléans au centre de la zone de la côte du Golfe. Je pouvais voir les grands sommets imposants des montagnes Rocheuses et tracer avec mes yeux la ligne de partage Continentale. Tout cela et bien plus encore, et je pouvais voir ce qui s'étalait devant moi comme une grande carte sur une table.
Une main gigantesque force la Statue de la Liberté à boire une coupe
Comme je regardais, soudain du ciel, j'ai vu une main géante se diriger et s'abattre vers le bas. Cette main gigantesque était en train d'atteindre la Statue de la Liberté. D'un seul coup, sa flamme étincelante fut arrachée de sa main, et à la place fut plutôt placée une coupe ; et j'ai vu en saillie dans cette grande coupe une épée géante, étincelante comme si une grande lumière avait été dirigée sur le bord scintillant de la lame. Jamais auparavant j'avais vu telle une épée si aiguisée, scintillante, dangereuse. Elle semblait menacer le monde entier. Comme la grande coupe était placée dans la main de la Statue de la Liberté, j'entendit ces mots,
« ainsi dit le Seigneur des armées, bois, enivres-toi et vomis et tombes et ne t'élèves plus, à cause de l'épée que j'enverrai. »
Quand j'entendit ces mots, je les ai reconnus comme étant une citation de Jérémie 25:27. J'ai été étonné d'entendre la Statue de la Liberté parler en répondant,
« Je ne boirai pas! »
Puis, comme une voix de tonnerre, j'ai entendu une fois de plus la voix du Seigneur disant,
« Tu dois certainement boire » (Jérémie 25:28).
Puis soudain la main géante a porté de force la coupe aux les lèvres de la Statue de la Liberté, et elle est devenue impuissante à se défendre. La main de Dieu l'a obligée à boire chaque goutte de la coupe. Comme elle avait bu l'amertume jusqu'à la lie, j'ai entendu ces mots:
« Et vous, vous resteriez impunis ! Vous ne resterez pas impunis ; Car j'appellerai le glaive sur tous les habitants de la terre, dit l'éternel des armées. "(Jérémie 25:29)
La Statue de la Liberté boit la coupe du jugement de Dieu
Quand la coupe fut retirée de la bouche de la Statue de la Liberté, j'ai remarqué que l'épée manquait dans la coupe, ce qui pouvait signifier qu'une chose.
LE CONTENU DE LA COUPE AVAIT ÉTÉ COMPLÈTEMENT CONSOMMÉ !
Je savais que l'épée typifiait la guerre et la destruction, ce qui ne faisait aucun doute. Puis j'ai vu la Statue de la Liberté chanceler comme quelqu'un qui est ivre et devenir instable sur ses pieds et commencer à perdre l'équilibre. J'ai vu ses éclaboussures dans le golfe, en essayant de retrouver son équilibre. Je l'ai vue chanceler encore et encore et tomber sur ses genoux.
Quand j'ai vu ses tentatives désespérées afin de retrouver son équilibre et essayer de se tenir sur ses pieds une fois de plus, mon coeur a été remué avec compassion comme jamais auparavant pour ses luttes ; mais comme elle chancelait encore dans le golfe, une fois de plus j'ai entendu ces mots:
« bois, enivres-toi et vomis et tombes et ne t'élèves plus, à cause de l'épée que j'enverrai chez toi. » (Jérémie 25:37)
Comme je regardais, je me demandais si la Statue de la Liberté serait jamais capable de se remettre sur ses pieds, si elle se tiendrait encore debout ; et quand j'ai regardé, il m'a semblé qu'elle se relevait péniblement de toutes ses forces et qu'enfin elle chancelait de nouveau sur ses pieds en se balançant ivre.
J'étais sûr qu'à tout moment elle tomberait encore une fois, peut-être pour ne plus jamais se relever. Je me semblais accablé du désir de lui tendre la main pour qu'elle garde la tête hors de l'eau, car je savais que si elle tombait encore une fois, elle se noierait dans le golfe.
" Tu ne craindras ni les terreurs de la nuit, Ni la flèche qui vole de jour, ni la peste qui marche dans les ténèbres, ni la contagion qui frappe en plein midi." (Psaumes 91:5-6).
Un nuage noir s'élève et prend la forme d'un crâne humain puis d'un squelette
Alors que je regardais, autre chose incroyable était en train de se dérouler. Loin vers le Nord-Ouest, juste à la frontière de l'Alaska, un énorme nuage noir s'élevait. Quand il s'est élevé, il était aussi noir que la nuit. Il ressemblait à la forme d'une tête humaine. Comme il continuait à s'élever, j'ai observé deux taches de lumière dans le nuage noir. Il s'est ensuite élevé un peu plus, et est apparu un trou béant.
Je pouvais voir que le nuage noir prenait la forme d'un crâne, et maintenant l'énorme bouche béante était parfaitement visible. Enfin, la tête était complète. Puis les épaules ont commencé à apparaître et de chaque côté, de longs bras noirs.
Le squelette s'apprête à détruire des multitudes
Il me semblait que ce que je voyais était l'ensemble de tout le continent nord-américain, réparti comme carte sur une table avec cet terrible nuage en forme de squelette qui s'élevait derrière la table. Il s'est élevé progressivement jusqu'à ce que sa forme fut visible jusqu'à la taille. De sa hauteur jusqu'à la ceinture, le squelette sembla se pencher vers les États-Unis, étendant une main vers l'est et l'autre vers l'ouest, une vers New York et l'autre vers Seattle.
Pendant que la terrible forme se penchait en avant, je pouvais voir que toute son attention semblait être centrée sur les États-Unis, délaissant le Canada, du moins pour le moment. Comme j'observais l'horrible nuage noir en forme d'un squelette se pencher sur les États-Unis, plié à partir de la taille, couvrant le pays vers Chicago et vers les deux côtes, je savais son objectif était de détruire des multitudes.
Le squelette exhale des bouffées de vapeurs blanches sur les États-Unis
Pendant que je regardais avec horreur, le grand nuage noir s'arrêta juste au-dessus de la région des Grands Lacs et tourna son visage vers la ville de New York. Puis, de l'horrible grande bouche béante a commencé à sortir des filets de vapeur blanche qui ressemblait à de la fumée, comme lorsqu'un fumeur de cigarette exhale des bouffées de fumée de sa bouche. Ces vapeurs blanchâtres étaient soufflées vers la ville de New York.
La fumée a commencé à se répandre jusqu'à ce qu'elle ait couvert toute la partie orientale des États-Unis. Puis le squelette s'est tourné vers l'ouest et de son horrible bouche et de ses narines est sortie une autre grande bouffée de fumée blanche. Cette fois, c'était soufflé dans la direction de la côte ouest. En quelques instants, toute la région de la côte ouest et Los Angeles était recouverte de ses vapeurs. Une troisième grande bouffée vint ensuite sur le centre. En regardant, Saint-Louis et Kansas City étaient enveloppés dans ses vapeurs blanches.
Puis ensuite elles se sont dirigé vers la Nouvelle-Orléans. Puis ensuite elles l'a balayée jusqu'à ce qu'elles atteignent la Statue de la Liberté qui se tenait chancelante et ivre dans les eaux bleues du golfe. Lorsque les vapeurs blanches ont commencé à se répandre autour de la tête de la Statue, elle pris une inspiration mais suffocant, elle commença alors à tousser comme pour débarrasser ses poumons des horribles vapeurs qu'elle avait inhalées.
A.A. Allen s'interroge sur la signification des vapeurs blanches
On pouvait facilement discerner par sa toux que ces vapeurs blanches avaient brûlé (marqué au fer rouge) ses poumons. Quelles étaient ces vapeurs blanches ? Pourraient-elles signifier des gaz bactériologiques ou des gaz neurotoxiques (armes de destruction massive) qui pourraient détruire une multitude de personnes en quelques instants ?
Puis j'entendis la voix de Dieu comme Il parlait encore:
« Voici, l'Éternel dévaste le pays et le rend désert, Il en bouleverse la face et en disperse les habitants. Et il en est du sacrificateur comme du peuple, du maître comme du serviteur, de la maîtresse comme de la servante, du vendeur comme de l'acheteur, du prêteur comme de l'emprunteur, du créancier comme du débiteur. Le pays est dévasté, livré au pillage; Car l'Éternel l'a décrété. Le pays est triste, épuisé; les habitants sont abattus, languissants; les chefs du peuple sont sans force. Le pays était profané par ses habitants; car ils transgressaient les lois, violaient les ordonnances, ils rompaient l'alliance éternelle. C'est pourquoi la malédiction dévore le pays, et ses habitants portent la peine de leurs crimes; c'est pourquoi les habitants du pays sont consumés, et il n'en reste qu'un petit nombre.» (Esaïe 24: 1-6)
L'agonie mortelle et la mort de la Statue de la Liberté
Pendant que je regardais la toux a empiré. C'était comme une personne toussant au point de vouloir cracher ses poumons. La Statue de la Liberté gémissait et gémissait. Elle agonisait mortellement. La douleur devait être terrible, parce qu'elle essayait encore et encore de libérer ses poumons de ces horribles vapeurs blanches. J'ai l'ai regardée dans le golfe, pendant qu'elle chancelait, ses poumons suffocant et se tenant la poitrine avec ses mains. Ensuite, elle est tombée à genoux. L'instant suivant, elle eut une dernière toux, et dans un dernier effort elle tenta désespérément de se relever de ses genoux, puis tomba la face en avant dans les eaux du golfe et resta là comme morte.
Des larmes coulèrent sur mon visage quand j'ai réalisé qu'elle était morte !
Le silence était brisé seulement par le clapotis des vagues, et les éclaboussures sur son corps qui était en partie immergé sous l'eau.
« Devant Lui est un feu dévorant, Et derrière Lui une flamme brûlante ; Le pays était auparavant comme un jardin d’Éden, Et depuis, c’est un désert affreux : Rien ne lui échappe» (Joël 2: 3).
Des sirènes de guerre stridentes se mettent à hurler
Soudainement le silence fut brisé par des hurlements de sirènes. Les sirènes semblent crier,
« Courez pour sauver votre vie » !
Jamais auparavant je n'avais entendu hurler de telles sirènes stridentes. Elles semblaient hurler de partout, venant du Nord, du sud, de l'est et l'ouest. Il semblait y avoir une multitude de sirènes et comme je regardais, j'ai vu des gens courir de partout, mais il semblait aucun d'eux ne pouvait faire que quelques enjambées, et puis ils tombaient.
Et même si j'avais vu la Statue de la Liberté avoir de difficulté à retrouver son équilibre pour finalement s'effondrer face première une dernière fois pour mourir, je voyais maintenant des millions de personnes tomber dans les rues, sur les trottoirs.
J'entendais leurs cris réclamant de l'aide et de la miséricorde.
J'entendais leurs toux horribles comme si leurs poumons avaient été marqués au fer rouge avec du feu.
J'entendais les gémissements des mourants qui étaient condamnés. Pendant que je regardais, j'ai vu que quelques uns avaient finalement atteint finalement des abris, mais c'était seulement quelques uns qui atteignirent les abris.
Et par-dessus les gémissements des multitudes en train de mourir, j'entendis ces mots :
« Le bruit parvient jusqu'à l'extrémité de la terre ; car l'Éternel est en dispute avec les nations, Il entre en jugement contre toute chair; Il livre les méchants au glaive, dit l'Éternel. Ainsi parle l'Éternel des armées : Voici, la calamité va de nation en nation, et une grande tempête s'élève des extrémités de la terre. Ceux que tuera l'Éternel en ce jour seront étendus d'un bout à l'autre de la terre; Ils ne seront ni pleurés, ni recueillis, ni enterrés, Ils seront comme du fumier sur la terre. » (Jérémie 25:31-33).
Attaque et explosion de missiles nucléaires
Puis tout à coup j'ai vu sortir de l'Atlantique et du Pacifique et du Golfe des objets ressemblant à des fusées, lesquelles semblaient surgir comme des poissons sautant hors de l'eau. En s'élevant dans les airs, chacune s'est dirigée dans une direction différente, mais toutes vers les États-Unis.
Sur la terre ferme, les sirènes retentirent plus fortes et venant du sol, j'ai vu des fusées similaires commencer à s'élever. Pour moi ces fusées semblaient être des missiles intercepteurs, bien qu'ils semblaient lancés de différents endroits partout aux États-Unis.
Cependant, aucun d'entre eux ne semblait réussir à intercepter les fusées qui avaient été lancées de chaque côté de l'océan. Ces missiles intercepteurs atteignirent finalement leur hauteur maximale, basculèrent lentement et plongèrent vers le sol dans la défaite. Puis soudain, les fusées qui avaient surgit hors des océans comme des poissons, ont toutes explosé en même temps. L'explosion était assourdissante.
La chose suivante que je vis, fut une énorme boule de feu.
Dans ma vision, la seule chose que je n'ai jamais vu qui ressemblait à cela, était l'image de l'explosion d'une bombe H, quelque part dans le Pacifique Sud. Dans ma vision, c'était si réel qu'il me semblait sentir la chaleur écrasante de celle-ci.
Désolation généralisée
Pendant que la vision se déroulait sous mes yeux et que j'observais la désolation générale provoquée par les terribles explosions, je ne pouvais m'empêcher de penser : Pendant que les défenseurs de notre nation ont perdu leur temps à débattre sur les moyens de défense à utiliser et ont négligé la seule vraie défense -- la protection et la dépendance reposant sur le vrai Dieu vivant- la chose qu'ils redoutaient est venu vers eux ! Combien vrai s'est avéré le passage de Psaumes 127: 1
« Si l'Éternel ne bâtit la maison, ceux qui la bâtissent travaillent en vain; Si l'Éternel ne garde la ville, celui qui la garde veille en vain »
Les jugements sur la nation
Comme le bruit de la bataille se calmait, il vint alors à mes oreilles cette citation :
« Sonnez de la trompette en Sion ! Faites-la retentir sur ma montagne sainte! Que tous les habitants du pays tremblent! Car le jour de l’Éternel vient, car il est proche, jour de ténèbres et d’obscurité, jour de nuées et de brouillards, Il vient comme l’aurore se répand sur les montagnes. Voici un peuple nombreux et puissant, tel qu’il n’y en a jamais eu, et qu’il n’y en aura jamais dans la suite des âges. Devant lui est un feu dévorant, et derrière lui une flamme brûlante; Le pays était auparavant comme un jardin d’Éden, et depuis, c’est un désert affreux: Rien ne lui échappe.
À les voir, on dirait des chevaux, et ils courent comme des cavaliers. À les entendre, on dirait un bruit de chars sur le sommet des montagnes où ils bondissent, on dirait un pétillement de la flamme du feu, quand elle consume le chaume. C’est comme une armée puissante qui se prépare au combat. Devant eux les peuples tremblent, tous les visages pâlissent. Ils s’élancent comme des guerriers, ils escaladent les murs comme des gens de guerre; chacun va son chemin, sans s’écarter de sa route. Ils ne se pressent point les uns les autres, chacun garde son rang; Ils se précipitent au travers des traits sans arrêter leur marche. Ils se répandent dans la ville, courent sur les murailles, montent sur les maisons, entrent par les fenêtres comme un voleur. Devant eux la terre tremble, les cieux sont ébranlés, le soleil et la lune s’obscurcissent, et les étoiles retirent leur éclat. » (Joël 2: 1-10)
Le silence de la mort est rompu par des cris de joie et des chants
Puis la voix s'éteignit. La terre aussi était silencieuse avec un silence de mort.
À mes oreilles vint alors une autre bruit, un son lointain de chant. C'était la musique la plus agréable que je n'avais jamais entendue. Il y avait des cris de joie et de rires heureux.
Aussitôt j'ai su que c'était la réjouissance des saints de Dieu.
J'ai regardé, et là, élevé dans les cieux, au-dessus des fumées toxiques de gaz, au-dessus du bruit de la bataille, j'ai vu une énorme montagne.
Elle semblait de roc, et j'ai su immédiatement qu'il s'agissait de la montagne du Seigneur.
Les sons de la musique et des réjouissances venaient d'une crevasse, située très haut sur le flanc de la montagne de roc.
Les saints de Dieu cachés dans la fente du rocher
C'était les saints de Dieu qui se réjouissaient. C'était le peuple de Dieu qui chantait et dansait et criait de joie, à l'abri des tous les préjudices qui étaient venus sur la terre, car ils étaient cachés dans une fente du rocher. La crevasse où ils étaient cachés, était protégée par une grande main géante qui atteignait les cieux et qui n'était nulle autre que la main de Dieu, fermant la crevasse jusqu'à ce que la tempête soit passée.
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