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ALLIANCES - DELIVRANCES

ALLIANCES - DELIVRANCES

JÉSUS CHRIST REVIENT BIENTÔT ! ES -TU PRÊT ?


Une réunion avec John G. Lake – John G. Lake

Publié par Daniella sur 26 Décembre 2019, 15:01pm

Catégories : #TEMOIGNAGES

Traduction d’un extrait de compte-rendu effectué pendant cette réunion. L'original a été publié en anglais dans le livre : "John G. Lake : The Complete Collection of His Life Teachings", compiled by Roberts Liardon, Albury Publishing, Tulsa, Oklahoma. Cette réunion date du 22 avril 1917, et s'est déroulée à Spokane, dans l'Etat du Washington."

 

Témoignage personnel de guérison miraculeuse de Mme Norton.

Je suis heureuse de me trouver cet après-midi devant vous, parce que tout ce que notre frère a dit est la vérité. En réalité il n'a fait qu'effleurer la description de l'état dans lequel je me trouvais. Comme notre frère vous l'a dit, je me suis scié l'index de la main droite en coupant un jambon.

On m'a conduite à l'hôpital. Mais ma main s'était instantanément paralysée après m'être coupé le doigt, ce qui prouvait que ce jambon était empoisonné. Je n'ai plus jamais retrouvé de sensation dans ma main.

Une semaine plus tard, mon sang était empoisonné, la gangrène s'installa, et je commençai à éprouver des frissons et de la fièvre. Le neuvième jour, j'allai consulter le Docteur O'Neil. Mon mari et mon épicier m'avaient dit qu'ils pensaient qu'il s'agissait d'un empoisonnement du sang. Cet après-midi, quand le docteur vit ma main, et qu'il apprit depuis combien de temps je me trouvais dans cet état, il me dit que ma main était morte. Il ajouta :

"Vous rendez-vous compte que la gangrène s'est déclarée ?"

Je répondis : "Non !"

Il me dit : "C'est pire qu'un empoisonnement du sang. Vous devez rentrer à l'hôpital dès ce soir !"

Je devais m'occuper de deux bébés, l'un de six mois, et l'autre de onze mois. Je m'en occupais avec ma main valide, pensant que la sensation allait revenir quand ma main droite serait guérie. Je dis donc au docteur qu'il m'était impossible de me rendre à l'hôpital immédiatement. Il me dit : "Si vous ne pouvez pas vous faire hospitaliser, il vous faut une infirmière qualifiée pour vous soigner."

Cette infirmière devait me changer mon pansement toutes les heures et me mettre des applications chaudes. Mais, au lieu de cela, elle me fit un pansement à dix heures du soir, puis alla se coucher toute la nuit. Bien entendu, je fus malade toute la nuit, et le lendemain, j'avais une forte fièvre. Mon mari appela le docteur. Mais sa voiture tomba en panne. Il savait que s'il n'allait pas prévenir son patron, il perdrait son travail. Il demanda donc à l'infirmière si elle pouvait rester jusqu'à midi. Elle fut d'accord. Il pensait qu'elle pouvait m'aider à prendre soin des bébés. Dès que mon mari fut parti, l'infirmière voulut me faire promettre que je la garderais toute la semaine, au lieu d'aller à l'hôpital. Je lui dis que je ne pouvais pas le faire avant d'avoir vu le docteur. Alors elle partit.

Ma fièvre était très élevée. Le docteur vint et me dit : "Bébés ou pas, il faut que nous trouvions un foyer pour s'en occuper, et vous devez aller immédiatement à l'hôpital !" Alors ma sœur prit l'un des bébés, et une voisine l'autre. Puis je me rendis à l'hôpital. Le Docteur O'Neil consulta d'autres médecins et me fit suivre un traitement contre l'empoisonnement du sang. Mais, chaque matin, le sang sortait de mon doigt par la blessure qui restait ouverte, et dont le tour était noir. Chaque matin, le docteur devait prendre son bistouri pour enlever les chairs pourries, mais, dès le lendemain, il devait recommencer. Les chairs saines étaient progressivement contaminées, et me brûlaient comme si elles étaient en feu. Les médecins continuèrent à couper les chairs, jusqu'à ce qu'ils atteignent les os.

Puis ils durent m'amputer le doigt. Je disais au docteur que je ressentais constamment une brûlure intense. A partir du huitième jour, il se forma des taches noires. Cela commençait par une petite tache brune, qui devenait de plus en plus noire. Puis, en l'espace d'une heure, un trou se formait dans la tache, qui rongeait jusqu'à l'os. Finalement, toute ma main ne fut plus qu'une masse informe de trous noirs, et tous mes ongles tombèrent.

Les médecins pensèrent qu'ils pourraient peut-être enrayer la progression de la maladie en amputant mon bras. Mais, quelques jours plus tard, des taches apparurent sur ma poitrine. Seize taches se formèrent en même temps, qui ne guérissaient jamais. Elles me brûlaient intensément pendant quelque temps. La brûlure diminuait ensuite, mais d'autres taches apparaissaient ailleurs. Pendant quatre ans, ce mal se répandit un peu partout dans tout mon corps. Mon épaule gauche était toute rongée. Puis mon autre bras commença à se décomposer. Cela commença par un énorme trou dans le coude. J'avais l'impression que mon bras était en train d'être scié.

Puis ma main fut attaquée. Un soir, six taches apparurent sur ma main. Vous pouvez encore voir comment les tendons ont été rongés. A présent, il s'est formé une nouvelle chair sur le dos de ma main. Entre six heures du soir et dix heures du matin, les tendons furent complètement rongés, et la chair tombait de ma main.

Pendant plusieurs mois, je fus presque complètement aveugle, en plus de l'état de mon corps. Dès la fin de la première année, on me mit sous morphine. Bien entendu, je ne pouvais pas dormir. Ils avaient essayé toutes sortes de drogues avant de ne garder que la morphine. Je n'en voulais pas, mais je souffrais tellement qu'ils ont commencé à m'en donner. Ils ne pouvaient même pas m'en donner assez pour que je puisse dormir, ni pour enlever la souffrance. Il me semblait que cela ne me faisait pas grand-chose, mais le docteur affirmait que, sans cela, je ne pourrais pas tenir.

Cela dura pendant près de trois ans et demi. Puis je me rendis dans la ville d'Olympia, parce que ma sœur voulait que je vienne vivre chez elle. Mais elle n'avait pas réalisé la gravité de mon état. Elle avait deux petits-enfants, et elle avait peur de me prendre chez elle, parce que j'étais morphinomane. Elle m'installa donc dans une petite cabane. Mon fils venait régulièrement me voir et restait deux ou trois jours. J'essayais de le persuader de rester dans un endroit où il pourrait gagner sa vie. Mon mari était resté de l'autre côté des montagnes, mais il n'avait plus du tout d'argent pour m'aider ou venir me voir. J'avais un peu d'argent pour acheter de la morphine, en plus de ce qui m'était envoyé. Je ne priais pas pour mourir, parce que je ne connaissais pas Dieu. Il me semblait que tout le monde me rejetait. Tout le monde disait : "Ce n'est qu'une vieille morphinomane." A part mes sœurs, personne ne savait que j'avais un bras amputé.

J'ai commencé à prendre plus de morphine. Il y avait une pharmacie où j'achetais neuf dollars de morphine chaque mois, en plus des quatre à six cents pilules qui m'étaient envoyées de Spokane. J'utilisais en permanence deux seringues hypodermiques. J'étais venue à Olympia en octobre, et j'ai vécu seule jusqu'au premier décembre, lorsque des Chrétiens sont venus me visiter. C'est mon fils qui avait rencontré un jeune au restaurant. Il lui avait dit : "Ma mère est terriblement malade. On lui a amputé un bras, et les docteurs veulent lui amputer l'autre." La mère de ce jeune vint me voir. Elle voulait me connaître et savoir si j'avais besoin de quelque chose. Je lui dis que je ne manquais de rien. J'avais encore beaucoup d'orgueil. Elle me demanda si j'étais sauvée. Je lui répondis "oui," mais je savais que je ne l'étais pas. Je savais que je n'étais pas prête à mourir, mais je ne voulais pas que les gens viennent me parler.

Cette dame demanda à son église que l'on prie pour moi. Après la réunion du matin, elle revint me visiter, accompagnée du pasteur et de son épouse, ainsi que d'un autre couple. Ils me parlèrent et prièrent avec moi. Ils revinrent me voir près de six fois en deux semaines.

Entre le premier décembre et le vingt-trois, la cinquième fois qu'ils vinrent prier pour moi, mon état empira comme jamais auparavant. Il me sembla que mon état était désespéré. Ce matin-là, le docteur vint me voir. Il ne pouvait plus rien faire pour moi, sinon suivre l'évolution de ma maladie. Il me dit : "Madame Norton, il faut que nous vous amputions l'autre bras. Sinon, dans trente-six heures, vous serez morte." Mon corps était couvert de taches noires. La putréfaction était généralisée. C'était une belle journée ensoleillée. J'étais logée dans une petite pièce, mais, pour moi, elle était plongée dans le noir le plus absolu. Il me semblait que la vie s'échappait peu à peu de moi. On aurait dit qu'une sorte de nuage noir s'abattait lourdement sur moi et me pompait la vie. Ma respiration devenait de plus en plus faible. J'étais certaine que j'étais en train de mourir. Le docteur me dit que si l'on m'amputait, je pourrais encore vivre trois ou quatre jours. Mais je refusai.

Ces deux Chrétiennes revinrent me voir. Elles voulaient prier pour moi. Elles avaient déjà prié cinq fois. Je leur dis : "Cela ne sert à rien de prier pour moi ! Mon état n'a jamais été aussi mauvais !" Mais je finis par reconnaître que je n'étais pas sauvée. Elles voulaient savoir si elles pouvaient prier que j'aie une mort douce. Je fus d'accord. Elles s'agenouillèrent près de mon lit, posèrent leurs mains sur moi et commencèrent à prier. Elles ne priaient pas depuis plus de dix minutes, quand j'entendis une voix me dire :

"Si je guéris ton corps, et si je pardonne tes péchés, acceptes-tu d'aller partout faire tout ce que je te demanderai ?"

Je savais que cette voix était celle de Jésus. Je dis :

"Oui, Seigneur, je le ferai, si Tu veux bien me libérer de ces douleurs."

Jésus m'apparut alors, et je le vis aussi clairement que je vous vois. Il Se tint d'abord au pied de mon lit. Puis Il en fit le tour pour S'approcher de mon bras droit. Il étendit Sa main droite, et toucha le bout de mes doigts. Aussitôt, toutes mes douleurs disparurent de mon corps. Je sentis la gloire de Dieu rayonner dans tout mon corps.

Dès cet instant, je ne ressentis plus aucune sensation de brûlure. Je me levai aussitôt et, tout en marchant dans la pièce, je me mis à louer Dieu pour ce qu'Il avait fait. Je n'avais rien mangé depuis quatre jours, mais j'avais retrouvé immédiatement toutes mes forces. De toute ma vie, je n'avais jamais été aussi heureuse. Les gens ont commencé à dire que j'étais devenue folle.

Cela s'était passé à 3h30 de l'après-midi. Une heure environ plus tard, je me calmai, et je m'habillai. Cela faisait longtemps que je ne me préoccupais plus de mes vêtements. Ces deux sœurs ne pouvaient pas attendre la prochaine réunion pour annoncer ces bonnes nouvelles. Elles allèrent donc téléphoner. Quand elles revinrent, j'étais en train de manger. Elles étaient sur le point de me quitter pour se rendre à leur réunion, mais je leur dis : "Je vais avec vous ! Attendez-moi, je mets mon manteau et mon foulard." J'avançai dans la neige et marchai une centaine de mètres jusqu'à la mission. Je fus la première à monter sur l'estrade ce jour-là pour raconter ce que le Seigneur avait fait pour moi. Non seulement Il avait guéri mon corps et pardonné mes péchés, mais Il m'avait complètement délivré de la morphine. Je devais acheter neuf dollars de morphine par mois, en plus des quatre ou six cents pilules que je devais prendre, deux fois par mois. Ce jour-là, j'avais pris ma dose de morphine à deux heures de l'après-midi. Mais, après ma guérison, je n'ai plus jamais pris une seule pilule, et je n'en ai même plus eu le besoin. J'ai jeté deux cents pilules et deux cents seringues hypodermiques. Mais je ne les ai pas jetées tout de suite, parce que j'envisageais de les vendre.

Le Seigneur me remémora les moindres détails de ma vie de péché, depuis l'âge de onze ans, comment j'avais dansé, joué aux cartes, bu de la bière. Puis Il me montra que je devais brûler ce que je voulais vendre. Aussi, un matin ou trois sœurs étaient venu me voir, je leur dis : "Je pense que je ne vais pas vous accompagner." Je me sentais lourde. Elles insistèrent pour que je vienne avec elles. Je finis par leur avouer qu'il fallait que je brûle ces pilules et ces seringues.

Pendant que je les brûlais, je tombai de tout mon long sur le plancher, et je restai sous la puissance du Saint-Esprit pendant une heure et demie. Jésus m'apparut à nouveau, et me montra le Ciel, la demeure qui m'attendait, et ma couronne. Il me revêtit aussi de ma robe blanche. Je voulais rester avec Lui, mais Il me dit qu'il fallait que je retourne sur la terre pendant encore un peu de temps, pour donner mon témoignage.

Mes amis, cela vaut la peine de rechercher le Ciel de toutes ses forces, à n'importe quel prix ! Si vous aviez seulement vu ce que j'ai vu ! Si vous aviez pu voir la réalité du Ciel et de l'Enfer ! Je pouvais voir mon corps en bas sur le plancher, et il me semblait que je ne pourrais jamais y retourner. Il était si glacé et si froid ! Pendant que j'étais allongée sur le sol, je me mis à parler en langues. Les témoins me dirent ensuite que j'avais donné de nombreux messages en langues. Personne ne peut savoir à quel point je suis heureuse depuis ce jour ! Tous les jours je parle à Jésus !

Depuis ma guérison, je n'ai plus eu aucun problème pour me nourrir ou m'habiller, alors qu'auparavant cela me faisait beaucoup souffrir. Pendant ma maladie, mes cheveux étaient devenus complètement blancs. Un an après ma guérison, depuis janvier dernier, mes cheveux ont commencé à redevenir noirs. Pourtant, je ne les lave qu'avec de l'eau et du savon. Ils ont recommencé à devenir noirs à partir des extrémités, et en remontant vers les racines.

 

Remarques de John G. Lake.

Nous avons entendu le témoignage de notre sœur, de sa propre bouche. D'après les entretiens que j'ai eu avec elle en privé, je veux dire que le témoignage qu'elle vous a donné aujourd'hui ne décrit pas la moitié des souffrances et des tortures qu'elle a endurées. Tout le monde comprendra qu'il est difficile d'en parler en détail en public.

Si je devais prêcher cet après-midi, je parlerais de "Christ, notre éternel Guérisseur," car il n'y a jamais eu une époque où Jésus-Christ n'a pas exercé Son ministère de guérison. Et il n'y en aura aucune, aussi longtemps que l'espèce humaine aura besoin de guérison.

La Parole de Dieu me permet d'espérer une telle manifestation de la guérison divine, à la fin de l'ère du Royaume de Dieu. Nous ne sommes pas encore entrés dans l'ère du Royaume de Dieu manifesté sur la terre, mais l'Ecriture en parle. La Bible nous révèle qu'à la fin de cette ère du Royaume de Dieu, "lorsque toutes choses lui auront été soumises, alors le Fils lui-même sera soumis à celui qui lui a soumis toutes choses, afin que Dieu soit tout en tous" (1 Cor. 15 : 28).

Dans la période de l'Evangile qui nous intéresse aujourd'hui, et qui vous intéresse aussi, je le sais, le témoignage de cette femme nous montre que nos prières peuvent être toujours exaucées, quand notre âme peut toucher Dieu, et entrer dans une expérience vivante avec Jésus-Christ, grâce à la croix, et à l'expérience du baptême du Saint-Esprit. Cela nous montre aussi que la puissance dynamique de Dieu n'a pas diminué, mais que Sa gloire radieuse s'écoule toujours de l'âme de Jésus, remplissant notre esprit, notre âme et notre corps de Sa puissance éternelle.

Au milieu des ténèbres de ce monde, au milieu des horreurs de la guerre, une guerre comme le monde n'en a jamais connu, alors que l'agonie de l'humanité est peut-être la plus grande de toute l'histoire humaine, la voix et le témoignage de notre sœur sont comme un éclair de lumière qui nous vient du trône de Dieu.

Que le Seigneur soit béni, cela nous révèle que, même au milieu des ténèbres, celui qui élève son âme vers Dieu peut toujours faire l'expérience de la puissance céleste de Christ.

Le fardeau que Dieu a placé sur mon cœur est peut-être quelque peu différent du fardeau que connaissent la plupart des êtres humains. Ce qui m'intéresse, ce n'est pas tant l'Enfer futur dont il nous est parlé, mais c'est aider les hommes à sortir de l'enfer qu'ils peuvent déjà vivre ici-bas. Pour moi, Jésus-Christ est un Sauveur très présent. Pour moi, l'attouchement de Jésus n'a perdu aucune de ses saintes vertus. Pour moi, le salut du Fils de Dieu est la puissance vitale la plus importante dans tout l'univers de Dieu. Le Seigneur Jésus ne nous sauve pas en nous faisant accepter un nouveau concept ou une nouvelle idée. C'est en nous faisant accepter Sa propre Personne. Il vient à nous par Son Esprit vivant, pour introduire une dynamique divine dans notre nature humaine. Que Dieu soit béni !

Une chose essentielle se dégage du témoignage de Madame Norton. Cet attouchement de Jésus a fait passer dans tout son être une vie, une énergie et une vertu guérissante tellement puissantes et intenses qu'en un instant, la malédiction infernale dans laquelle elle vivait depuis quatre ans s'est complètement évanouie. Que Dieu soit béni !

Un tel attouchement de Jésus libère la nature humaine de l'esclavage des ténèbres, du péché, de la crainte et du doute. Il élève notre âme jusqu'à la ressemblance et la justice de Christ. Il transporte notre esprit dans le Royaume de notre Sauveur et Seigneur Jésus-Christ. Il existe un Royaume, celui de notre Sauveur et Seigneur Jésus-Christ, dans lequel notre esprit a le privilège de pouvoir entrer.

Notre sœur nous a dit que son esprit avait quitté son corps, pour aller avec le Seigneur dans les lieux célestes. Il lui a montré les domaines réservés à ceux qui ont réellement hérité du salut. Il lui a aussi montré ce que doivent souffrir ceux qui ne connaissent pas Dieu et qui vivent dans les ténèbres.

Pour moi, Jésus-Christ sera éternellement Celui qui guérit. Il était Celui qui guérit au commencement. Il a été Celui qui guérit avant même le déluge. Il a été Celui qui guérit pendant Sa vie terrestre. Il est toujours Celui qui guérit dans notre dispensation présente.

Il est éternellement Celui qui guérit ! Que Dieu soit béni !

Aussi longtemps que la guérison existera, Jésus sera Celui qui guérit.

Que Son Nom soit béni !

Je suis enthousiasmé par le Fils de Dieu !

Pour moi, Son salut dépasse tout ce l'homme peut imaginer. C'est ce que Dieu a conçu de plus grand. J'attends avec joie et impatience, et je prie pour que vienne enfin le jour où tous les hommes, comme tous les anges des cieux et toutes les créatures sur la terre, entonneront ensemble un joyeux cantique pour magnifier la gloire et la sainte puissance du Fils de Dieu, comme l'indique l'Ecriture :

"A celui qui est assis sur le trône, et à l'agneau, soient la louange, l'honneur, la gloire, et la force, aux siècles des siècles !" (Apoc. 5 : 13).

 

Notre Dieu bien-aimé, nous Te bénissons pour le privilège d'être ici.

Nous Te bénissons pour le privilège d'avoir pu entendre les paroles de notre sœur.

Nous Te bénissons, O Dieu, parce que le salut de Christ a touché son âme.

Nous Te bénissons, O Dieu, parce qu'Il a emmenés captifs la mort et l'enfer, par la lumière de Sa présence et la puissance glorieuse de Son Etre. Il a touché sa main, et la condamnation l'a quittée, l'enfer qu'elle vivait a été banni, Christ est entré, la gloire a brillé, et la grâce de Jésus a été manifestée. Que Dieu soit béni !

Seigneur, notre Dieu, nous Te prions d'élargir nos cœurs, pour que, par Ta grâce, nous puissions proclamer à tous les hommes Ton salut parfait.

Cher Christ, c'est en Ton Nom que nous disons, une fois encore, avec toute l'énergie de notre cœur, avec toute la force de notre nature, par toute la puissance dynamique que le Saint-Esprit insuffle à notre âme, que nous proclamerons comme tout à nouveau le Christ vivant, l'Eternel Sauveur, Celui qui guérit toujours !

Gloire soit rendue à Dieu !

Amen !

 

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