Ex-scientifique pour une compagnie pharmaceutique américaine, aujourd’hui à la retraite, Helen Ratajczak a récemment créé une tempête de débats provenant de tous
les milieux en publiant un article sur les liens entre l’autisme et les vaccins, article reproduit et commenté sur de nombreux sites Internet(1).
Elle y révèle, entre autres, que l’industrie des vaccins utilise des cellules d’embryons humains avortés. Ces tissus humains sont actuellement utilisés dans
23 vaccins. Pour cette chercheuse, l’incidence de l’autisme, qui ne cesse d’augmenter, pourrait correspondre à l’introduction d’ADN humain dans le vaccin ROR.
L’utilisation des embryons humains
On apprend dans l’article d’Helen Ratajczak qu’un pic dans l’incidence de l’autisme s’est produit en 1995, lorsque le vaccin contre la varicelle fut cultivé sur
tissu fœtal humain. Bien sûr, les parents qui faisaient vacciner leur enfant avec ce vaccin l’ignoraient, car cela n’était indiqué nulle part. Il y a là un manque flagrant d’éthique, en dehors de
toute position religieuse, car introduire de l’ADN ou de l’ARN humain provenant de fœtus dans l’organisme ne peut pas se faire sans en informer les gens.