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ALLIANCES - DELIVRANCES

ALLIANCES - DELIVRANCES

JÉSUS CHRIST REVIENT BIENTÔT ! ES -TU PRÊT ?


LE MYSTERE D'ISIS OU DE BABYLONE LA GRANDE PAR D. PAMPHILE

Publié par Daniella sur 19 Mai 2009, 10:33am

Catégories : #ARTICLES DE D. P.

Le sage disait qu’il n’y a rien de nouveau sous le soleil.

Le monde est sous la puissance du malin, et ce qui a été sera encore, tel l’ouroboros encerclant la terre. Cela est dû à l’alliance de l’homme déchu avec le monde animal (le serpent) et le monde des ténèbres (Satan).

La pratique de la délivrance, bien que tant combattue au sein du corps de Christ, a pourtant mis en lumière les ruses du diable pour séduire et égarer le peuple de Dieu.

La Bible évoque Babylone, la tour de Babel et la prostituée assise sur les eaux. D’ailleurs, Isis est représentée avec une queue de poisson, pouvant aussi devenir une queue de serpent.

La Parole de Dieu a été écrite pour glorifier Dieu et révéler le mystère de la Piété (Éphésiens 3:9 ; Colossiens 1:25), mais elle nous donne également des indices pour démasquer le monde des ténèbres, le système babylonien avec toutes ses ramifications, et, au final, le mystère de l’iniquité.

La malédiction d'Adam et Ève, ainsi que celle de nos ancêtres, est toujours d'actualité ! Elles ne sont brisées que par l’œuvre puissante de la croix : confession, repentance et purification par le sang de Jésus !

La fin des temps montrera que cette semence diabolique d'Éden, qui a transformé Ève en une prostituée dans la maison de son père, la condamnant ainsi au déshonneur, à la honte et à la mort, nous le prouvera.

Seul le sang du Christ nous rachète de cette malédiction.

Le prophète Daniel annonce :

« Ceux qui auront été intelligents brilleront comme la splendeur du ciel, et ceux qui auront enseigné la justice à la multitude brilleront comme les étoiles, à toujours et à perpétuité. » (Daniel 12:3)

Par Pieter Brueghel l'Ancien

Par Pieter Brueghel l'Ancien

Babylone a disparu. Toutefois, son esprit n’a pas disparu.

L'ancienne Babylone, ce puissant empire qui symbolisait la rébellion contre Dieu, a été réduite en ruines, mais son influence persiste dans le monde moderne. Si les tours du 11 septembre sont tombées en Amérique,  aujourd’hui, dans les terres arides des Émirats arabes, des gratte-ciels surgissent comme des champignons défiant effrontément la nature désertique et hostile, rappelant la tour de Babel. Les grandes puissances des Émirats arabes sont devenues les bâtisseurs de ces géants de verre et d'acier, qui incarnent l’aspiration humaine à la grandeur, au pouvoir, et à l’immortalité. Cette semence est donc toujours active dans les fils de la rébellion et donnera naissance au nouvel ordre mondial et à l’église universelle apostate.

La plupart des coutumes de la chrétienté notamment dans l’Eglise catholique tirent en effet leur origine directement de Babylone : culte de la vierge qui est en réalité Isis (vierge noire), Astarté ou Vénus, le sapin, la bûche de Noel, les œufs de pâques…

Ces traditions ont gardé une grande influence sur nous et nos contemporains et sur toutes les pratiques religieuses même notre culture.

Les dieux de la mythologie grecque ou latine sont bien présents dans notre vie quotidienne :

  • Ajax : détergent ammoniaqué, était dans l’Iliade un grand guerrier grec de la guerre de Troie.
  • Athena : marque de slips, tire son nom de la déesse grecque de la sagesse et de la guerre.
  • Cérès : grande entreprise de restauration collective, le nom latin de la déesse Déméter, déesse nourricière, présidait à l’agriculture – Le mot « céréale » vient du nom latin de cette déesse du blé et de l’agriculture.
  • Clio : un des modèles de voitures de Renault, tire son nom de la muse de l’Histoire.
  • Hermès : grande marque de haute couture française, tire son nom du dieu des voyageurs, des marchands et des voleurs.
  • Mars : dieu de la guerre, associé aux barres chocolatées.
  • La Pléiade : société d’édition des grands classiques littéraires, nom donné aux sept filles du géant Atlas et de Pléioné.
  • Chimère : désigne un fantasme, mais dans la mythologie, c’était un monstre enfanté par le dieu Typhon.
  • Furie : du nom latin des Erinnyes, esprits vengeurs des Grecs, désigne désormais une femme très en colère. Une de ces Furies s’appelait d’ailleurs Mégère.
  • Harpie : désigne à peu près la même chose qu’une furie, mais en pire ; les Harpies grecques étaient des oiseaux monstrueux vivant près du lac Stymphale.
  • Hypnotiser : le verbe est tiré du nom du dieu grec Hypnos, dieu du Sommeil.
  • Hygiène : vient du nom de la déesse grecque Hygée, fille d’Asclépios, le dieu des médecins.
  • Léthargie : vient du nom du fleuve grec Léthé, qui donnait l’oubli à ceux qui s’y baignaient.
  • Méduser : signifiant « stupéfier, choquer », provient de la Gorgone Méduse, qui changeait en pierre ceux qui la regardaient dans les yeux.
  • Minerve : du nom latin d’Athéna, désigne aujourd’hui une attelle enserrant le cou. Le mot « musée » a été forgé à partir du nom des Muses, personnifications des arts.
  • Nymphomane : inspiré des nymphes, ces créatures mythologiques qui se baignaient souvent en petite tenue dans les sources.
  • Pactole : était un fleuve grec dans lequel se plongea Midas pour se libérer du sort qui lui faisait transformer tout ce qu’il touchait en or.
  • Panique : est issu du nom du dieu grec Pan, dieu-animal assez laid, qui semait la zizanie et la frayeur chez les nymphes.
  • Priapisme : vient du nom de Priape, affligé d’une érection constante ; c’est aujourd’hui le nom d’une maladie développant les mêmes symptômes.
  • Psyché : était une fort belle jeune fille aimée par le dieu Cupidon ; c’est aujourd’hui le nom d’un grand miroir ovale qui pivote sur son axe.
  • Satyre : personnage qui suivait le dieu Pan et prenait plaisir à poursuivre les nymphes, est devenu un nom désignant un obsédé sexuel.
  • Héros : proverbialement cité par Homère dans L'Iliade,
  • Stentor possédait une voix extraordinairement puissante. Une « voix de Stentor » signifie une voix retentissante.
  • Hybride : vient du terme grec hybris, que l’on peut traduire par « démesure ». Elle désignait la volonté et l’orgueil des hommes qui voulaient défier les dieux en les égalant. Œdipe et Prométhée en sont de tragiques exemples.

Et bien d’autres encore…
Narcissisme, éolienne, volcan, mentor, Phaéton, saturnisme, triton, typhon, vénérien, pygmalion, sibyllin…

 

LE MYSTERE D'ISIS OU DE BABYLONE LA GRANDE PAR D. PAMPHILE

Puis l'un des sept anges qui tenaient les sept coupes vint, et il m’adressa la parole en disant : 

"Viens, je te montrerai le jugement de la grande prostituée qui est assise sur les grandes eaux. C’est avec elle que les rois de la terre se sont livrés à l’impudicité, et c’est du vin de son impudicité que les habitants de la terre se sont enivrés."

Il me transporta en esprit dans un désert. Et je vis une femme assise sur une bête écarlate, pleine de noms de blasphème, ayant sept têtes et dix cornes. Cette femme était vêtue de pourpre et d’écarlate, parée d’or, de pierres précieuses et de perles. Elle tenait dans sa main une coupe d’or, remplie d’abominations et des impuretés de sa prostitution. Sur son front était écrit un nom, un mystère : Babylone la grande, la mère des impudiques et des abominations de la terre. Et je vis cette femme ivre du sang des saints et du sang des témoins de Jésus. En la voyant, je fus saisi d’un grand étonnement. L’ange me dit : "Pourquoi t’étonnes-tu ? Je te dirai le mystère de la femme et de la bête qui la porte, qui a les sept têtes et les dix cornes. La bête que tu as vue était, et elle n’est plus. Elle doit monter de l’abîme et aller à la perdition. Et les habitants de la terre, ceux dont le nom n’a pas été écrit dès la fondation du monde dans le livre de vie, s’étonneront en voyant la bête, parce qu’elle était, et qu’elle n’est plus, et qu’elle reparaîtra. C’est ici l’intelligence qui a de la sagesse. Les sept têtes sont sept montagnes, sur lesquelles la femme est assise.

La femme assise sur les sept montagnes ou les sept collines, dont parle l’apôtre Jean, et portant gravée sur le front : "Le Mystère, Babylone la grande, la mère des impudiques et des abominations de la terre", n’est rien d’autre que l’Église romaine, la femme de Satan régnant sur les rois de la terre ou la déesse mère (Apocalypse 17:18).

Rome est considérée comme la merveille du monde, renfermant dans son enceinte sept collines.
L’Église catholique, ou Babylone la grande, est, comme vous le savez déjà, le siège principal de l'idolâtrie dans le monde. Les cathédrales sont blindées de statues et de monuments aux morts. En réalité, les racines occultes de la religion catholique sont babyloniennes. En France, par exemple, la plupart des cathédrales ont été élevées sur d'anciens lieux de cultes consacrés aux divinités de l’ancienne Babylone, celles dont justement parle l’Ancien Testament. Ces monuments se dressent sur des sites déjà consacrés par la présence d’une statue de la Madone, le plus souvent noire et généralement préchrétienne (la Vierge noire).

Par Velvet

Par Velvet

Les vierges noires, très répandues dans l’Antiquité et dans les églises, ont été progressivement remplacées au fil des siècles par des vierges blanches. Plusieurs historiens, bien que souvent démentis, ont développé des thèses qui tentent de prouver que la ville de Paris aurait été fondée en l’honneur d’Isis, la vierge noire. À la veille de la Révolution française, le culte d’Isis et d’Horus, remontant à la plus haute antiquité, allait ressurgir dans les rituels de la « franc-maçonnerie égyptienne ». Certains pensent même que les francs-maçons seraient les instigateurs de la Révolution afin de mettre en place un nouvel ordre en France. Ainsi, les Parisiens, protégés par Isis, symbole de régénération, surmonteraient et triompheraient de tous les obstacles, dont l’effondrement du régime monarchique.

LE MYSTERE D'ISIS OU DE BABYLONE LA GRANDE PAR D. PAMPHILE

La franc-maçonnerie traditionnelle a officiellement adopté Isis comme déesse protectrice en 1802. L’une des loges de la franc-maçonnerie porte d’ailleurs le nom des « Enfants d’Isis » et s’inspire des symboles et de l’histoire de l’Égypte antique. Le nom "Enfants d'Isis" pourrait ainsi symboliser ceux qui cherchent à comprendre ces mystères et à s'en inspirer pour leur propre cheminement spirituel.

Isis est perçue comme un symbole de régénération, de connaissance cachée, et de lumière spirituelle. Elle représente un principe féminin divin, la lune, le mystère et l’amour maternel. Selon la légende, Isis (ses symboles étant le croissant de lune, l’Étoile du Matin, l’Étoile des Batailles et l’Étoile du Soir, cette dernière représentant les Passions Amoureuses) aurait ressuscité Osiris, qui avait été assassiné à la suite d’un complot organisé par son frère, Seth. Pour les francs-maçons, cette référence à Isis (et à son rôle dans le mythe d'Osiris) symbolise la quête de la lumière, de la sagesse et de l'élévation spirituelle. Osiris et Isis ont une signification particulière, comme le précise Françoise Dunand : « Le grand maître anglais George Smith (1783) voit dans le mythe égyptien la source d’inspiration des "mystères" de la maçonnerie : "Osiris et Isis représentent théologiquement l’Être suprême et l’universelle nature, et physiquement les deux grands luminaires, le soleil et la lune, dont l’influence s’étend à toute la nature."

En 1705, l’urbaniste français De Lamare dressa le plan de la ville de Paris et y mentionna des temples d’Isis à la place de l’abbaye de Saint-Germain-des-Prés et de la cathédrale de Notre-Dame. Ce fait fut confirmé par le Père J. du Breul, qui, dans son ouvrage Théâtres des antiquités de Paris publié en 1639, déclara : – « Au lieu où le roi Childebert fit construire l’église de Saint-Vincent, aujourd’hui dite de Saint-Germain-des-Prés et à laquelle il donna son fief d’Issy, la commune opinion est qu’il y avait un temple d’Isis, femme d’Osiris. » Les grandes cathédrales gothiques étaient en effet des temples dédiés à cette déesse. Entre 1170 et 1270, pas moins de 80 cathédrales dédiées à Notre-Dame et 500 églises furent édifiées à sa gloire.

LE MYSTERE D'ISIS OU DE BABYLONE LA GRANDE PAR D. PAMPHILE

Un autre exemple : répertoriée comme l’une des sept merveilles du Dauphiné, la Tour-sans-Venin domine la ville, au pied du hameau de Pariset. Le pan de muraille qui subsiste encore aujourd'hui serait un vestige du donjon de l’ancien château fort de Pariset, cette véritable forteresse militaire existant déjà au XIe siècle. Au pied de l’ancienne tour se trouve une petite chapelle romane datant du XIIIe siècle, avec des toitures couvertes de tuiles aux charmes quasi méditerranéens. En 1656, près de la chapelle, fut déterrée une pierre portant une inscription romaine  dans lesquelles Sextius Claudius Valerianus consacre un autel ou une offrande à une divinité en remerciement ou en vœu de faveur divine :

« Isidi matri Sex Claudius Valerianus Aram cum ornamentis Ut voverat ».

Traduction : « À Isis mère, Sextius Claudius Valerianus a dédié cet autel avec ses ornements… ».

"Isidi matri" signifie "À Isis la Mère", un titre qui reflète le rôle central d'Isis dans la religion romaine, où elle était souvent vénérée sous ce nom maternel. Les termes "cum ornamentis" indiquent qu’un autel a été dédié à la déesse avec des ornements et des accessoires, suggérant que l’offrande était particulièrement somptueuse.

"Ut voverat" signifie "comme il l’avait promis". Cela implique que l’offrande a été faite en réponse à un vœu ou une promesse faite par l’individu, une pratique courante dans la dévotion romaine : lorsqu’une personne demandait quelque chose de la part des dieux et que cette demande était exaucée, elle faisait une offrande pour remercier les divinités.

Selon une légende, bien avant le Moyen Âge, les paysans du Vercors, proches de cet endroit, tentaient de cultiver cette terre peu fertile. Mais le travail était ardu et les récoltes maigres sur les contreforts de ce massif. Pour implorer les dieux, le responsable du village fit construire une stèle en l’honneur d’Isis, déesse bien connue pour sa fertilité et son pouvoir de ressusciter les morts dans certains pays. Dans d’autres contrées, elle était également perçue comme l’image de la Terre-Mère, symbolisant la fertilité. La terre devint un peu plus fertile, et vers le XIIIe siècle, un seigneur s’établit en ce lieu prospère et "sacré". Un château fut construit, et il devint au XIXe siècle l’une des sept merveilles du Dauphiné.

Les pierres de dévotion à Isis :

Des pierres comme celle retrouvée près de la Tour-sans-Venin étaient souvent disposées dans des espaces extérieurs comme des sanctuaires ou près de bâtiments publics. Ces pierres étaient des moyens de communiquer avec les dieux ou d’honorer des vœux, en particulier dans les zones rurales où la pratique religieuse était un moyen essentiel de marquer la relation avec le divin. Cela montre à quel point le culte d’Isis avait pénétré dans des territoires loin de Rome ou Alexandrie.

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Le temple de Philae, situé sur l'île de Philae en Égypte, était dédiée au culte d’Isis adorée aussi à Rome (mère universelle et enchanteresse qui régnait sur la vie, la mort et la résurrection). La construction du Temple de Philae fut commencée par Nectanebo Ier (380-362 avant JC), un pharaon de la 30e dynastie.

Il fut ensuite agrandi par les Ptolémées, une dynastie grecque ayant régné sur l'Égypte après la conquête d'Alexandre le Grand.et les romains. Il fut l’un des sanctuaires les plus importants d’Egypte et de Nubie jusqu’en 550 lorsque l’empereur byzantin Justinien ordonna sa fermeture.

Le Temple de Philae, perle de l’Egypte, est effectivement l'un des plus célèbres temples dédiés à Isis, la déesse de la fertilité, de la maternité, de la magie, de la guérison, de la vie, de la mort et de la résurrection.

Les chrétiens transforment alors le temple en églises qui seront actives jusqu’au XIIIe siècle.

Lorsque l’île fut convertie à l’islam, une mosquée fut bâtie. Elle est donc aussi la mère de toutes les religions.

La pierre noire fait référence, à mon avis, à la vierge noire. N’est-elle pas le cœur de l’islam, son fondement  ? Pour corroborer ce fait, les musulmans disent que la pierre noire, trouvée selon le Coran par Ismaël, serait la pierre d’angle du premier temple de l’Univers, la kaaba (sanctuaire polythéiste muni de 360 statues d’idoles). Selon la tradition islamique, elle aurait été donnée à Abraham et Ismaël par l'ange Jibril (Gabriel) lorsqu'ils ont construit la Kaaba sur ordre de Dieu (Allah). Elle est considérée comme un signe sacré de l’alliance avec Dieu. Elément central de l’islam, et elle est enchâssée dans l’angle sud-est de la Kaaba à la Grande Mosquée de La Mecque. Elle était un lieu de pèlerinage pour les Arabes païens, qui y pratiquaient des rituels bien avant la naissance du prophète Mahomet.

Ce temple ne vous rappelle t-il pas la Babylone idolâtre de l’Apocalypse  :

« Il cria d’une voix forte, disant: Elle est tombée, elle est tombée, Babylone la grande! Elle est devenue une habitation de démons, un repaire de tout esprit impur, un repaire de tout oiseau impur et odieux et que les rois de la terre se sont livrés avec elle à l’impudicité, et que les marchands de la terre se sont enrichis par la puissance de son luxe »  Apo 18.2

En 630 apr. J.-C., après la conquête de La Mecque par Mahomet, les 360 idoles de la Kaaba furent détruites et l’édifice fut consacré au culte du Dieu unique, Allah. D’après la tradition, Mahomet, lorsqu’il investit la Kaaba, ordonna la destruction de toutes ces idoles, sauf une : une icône mariale qu’il protégea de ses mains. Maryam, mère du prophète Jésus, Isâ (Issa), est donc vénérée partout par les musulmans. La pierre noire a été conservée et intégrée dans la tradition islamique comme relique sacrée, mais non comme objet d’adoration.

En réalité, ce n’est pas Marie la servante de Dieu, ce n’est pas le même Jésus, mais c’est Isis et Horus qui sont adorés. Mahomet a fondé sa religion sur cette pierre noire. Cette pierre noire représente, à mon avis, Agar l’égyptienne descendante de Cush, de Nimrod. Elle n’eut qu’un fils Ismaël qui pourrait être considéré comme Horus, fils d’Isis, la vierge noire égyptienne.

LE MYSTERE D'ISIS OU DE BABYLONE LA GRANDE PAR D. PAMPHILE

En effet, avant l’Islam, le dieu Hubal était adoré à La Mecque. Hubal était considéré comme le dieu principal des Quraychites, la tribu dont est issu Mahomet. Son idole, faite de cornaline rouge, était dressée dans la Kaaba, au-dessus d’un puits sec dans lequel on jetait des offrandes votives. Ce puits rappelle la mésaventure d’Agar et d’Ismaël, chassés dans le désert par Abraham. À bord de la mort, un ange de Dieu ouvre les yeux d'Agar et lui permet de voir un puits d’eau, sauvant ainsi son enfant (Genèse 21.19).

L’idole d'Hubal était placée à côté de la Pierre Noire, ce qui laisse supposer qu'il existait un lien symbolique entre les deux, représentant peut-être la relation entre la mère et le fils. Un chercheur, Wellhausen, a suggéré qu’Hubal était originellement associé à la Pierre Noire, qui, comme nous l’avons déjà noté, est plus ancienne que l’idole elle-même.

Dans le Coran, Allah est désigné comme le "Seigneur de la Kaaba" et le "Seigneur de La Mecque" (Sourate 106:3-4), ce qui confirme que la ville et son sanctuaire avaient une importance religieuse avant même l'Islam. L'Islam a réinterprété et monothéisé ce lieu en lui donnant une nouvelle signification, tout en conservant certaines pratiques rituelles telles que la circumambulation (tawaf) et la vénération de la Pierre Noire.

Hubal était donc le dieu des Mecquois. D’ailleurs, lors de la bataille d’Uhud en 625 apr. J.-C., quand les Mecquois battirent le Prophète à proximité de Médine, leur chef se serait écrié : "U’lu – Hubal" (Élévation à Hubal).

Hubal était considéré comme le dieu principal de la Kaaba préislamique. En réponse, Mahomet aurait dit : "Allah est plus élevé et plus glorieux", ce qui suggère une distinction entre le dieu préislamique de la Kaaba, Hubal, et la conception islamique d’Allah. En prononçant ces paroles, Mahomet a confirmé l’idée qu’Allah est supérieur à Hubal, et qu'aucune divinité vénérée à La Mecque ne peut rivaliser avec sa grandeur. Mahomet considérait que l’idolâtrie (vénérer des statues ou des symboles matériels) était une fausse voie spirituelle.

Cependant, les pratiques animistes préislamiques ne sont pas totalement absentes dans certaines régions musulmanes. Par exemple, certains musulmans de Java continuent à vénérer des arbres fétiches et des représentations humaines, selon la mode hindouiste. En Inde, certains musulmans honorent encore des vaches sacrées et divers animaux, comme les hindous. L’Islam a aussi assimilé certains mythes païens : ainsi, le culte antique du tonnerre et des éclairs se retrouve dans la légende chiite d’Ali, et le mythe solaire gréco-romain se reflète dans la légende d'Hossein, fils d’Ali.

LE MYSTERE D'ISIS OU DE BABYLONE LA GRANDE PAR D. PAMPHILE

Les sept tours autour de la Kaaba évoquent les sept collines de Rome, mais aussi la déesse de la fortification, souvent associée à des figures mythologiques comme la déesse-mère Sémiramis, femme de Nimrod, qui est également identifiée sous d'autres noms tels que Cybèle, Rhéa, ou Diane d’Éphèse. Elle représente la fertilité et l’amour, et est considérée comme l’image de la Terre-Mère, capable de redonner la vie à la terre et de repeupler un désert, comme celui de l'Arabie saoudite. La déesse Isis, vénérée sous des noms variés comme Astarté, Aphrodite, Ishtar ou Vénus, incarne aussi Sémiramis. Avant l'Islam, la déesse arabe al-Uzza était honorée comme une grande divinité associée à la protection, la fertilité et parfois à la guerre, rappelant ainsi les multiples rôles de la déesse-mère dans d'autres traditions. Les symboles et les cultes préislamiques dans la région de La Mecque ont effectivement des racines profondes dans ces croyances anciennes, et l'Islam a réinterprété ces symboles, les remplaçant par des concepts monothéistes

Jean a été profondément étonné en voyant Babylone la Grande !

Le terme "Apocalypse" signifie "Révélation".

La période de la fin des temps sera marquée par une riche période de Révélation prophétique, remplie de lumière divine. En raison du jugement imminent de Dieu, l’Église apostate va se distinguer de plus en plus, se révélant publiquement aux yeux de tous, et surtout aux enfants de Dieu :

"Sortez du milieu d’elle, mon peuple !" Le prophète Lot a également imploré : « Levez-vous, dit-il, sortez de ce lieu ; car l’Éternel va détruire la ville » (Genèse 19:14).

Quelle relation existe-t-il entre le temple de Dieu et les idoles ? Car nous sommes le temple du Dieu vivant, comme le dit l’Écriture : « J’habiterai et je marcherai au milieu d’eux ; je serai leur Dieu, et ils seront mon peuple. C’est pourquoi, Sortez du milieu d’eux, et séparez-vous, dit le Seigneur ; Ne touchez pas à ce qui est impur, et je vous accueillerai. Je serai pour vous un père, et vous serez pour moi des fils et des filles, dit le Seigneur Tout-Puissant » (2 Corinthiens 6:16).

Et j’entendis une autre voix venant du ciel qui disait : « Sortez du milieu d’elle, mon peuple, afin que vous ne participiez point à ses péchés et que vous n’ayez point de part à ses fléaux. Car ses péchés se sont accumulés jusqu’au ciel, et Dieu s’est souvenu de ses iniquités » (Apocalypse 18:4).

La Parole de Dieu démontre clairement que Rome représente la Babylone de l’Apocalypse. Son système pyramidal, pharaonique, ses cultes, ses fêtes, sa doctrine et ses cérémonies, sa prêtrise et ses ordres sont tous issus de l’ancienne Babylone.

Par Sailko

Par Sailko

Le pape est, en réalité, considéré comme le fils spirituel d'Isis (reine du ciel) ou Tammuz, qui meurt et ressuscite à chaque nouvelle nomination. Le culte d'Isis est souvent perçu comme un chemin initiatique menant à la porte des dieux, ou d'Ishtar, conduisant à la connaissance occulte et à la révélation de ses mystères, d'où le "mystère de l'iniquité".

Elle dit à celui qui est dépourvu de sens : « Les eaux dérobées sont douces, et le pain du mystère est agréable ! » Et il ne sait pas que là se trouvent les morts, et que ses invités sont dans les vallées du séjour des morts (Proverbes 9:17).

Le mystère réside dans le fait que la femme doit être connue par l'homme dans le cadre du mariage terrestre,  l'alliance sainte bénie par Dieu. Elle représente le temple de la gloire de l'homme, et incarne le mystère caché de l'homme dévoilé dans le mariage.  Satan a exploité ce caractère de la femme vis-à -vis de l’homme pour égarer l’humanité entière.

Isis, Ishtar ou Astarté est la mère des dieux.

Cela évoque la promesse du serpent dans la Genèse :

"Vous serez comme des dieux".

La déesse-mère, figure de la grande prostituée, donne donc  naissance, par  voie initiatique, à des dieux, une forme d'élite, une royauté appelée à gouverner le monde sans Dieu : race maudite de sacrificateurs de Satan, qui réclame le sang des innocents et des justes :

"Et je vis cette femme ivre du sang des saints et du sang des témoins de Jésus."

Nous pouvons conclure que les dieux adorés dans les différentes mythologies païennes (égyptienne, phénicienne, romaine, grecque, hindoue, etc.) tirent leur origine des divinités vénérées dans l’antique Babylone. Ces puissances restent toujours d’actualité. Elles se manifestent sous diverses formes, selon les cultures et les races à travers le monde, mais leur influence et leur impact sur la vie des humains, aveuglés par Satan, demeurent les mêmes.

La Babylone du Nouveau Testament fait directement référence à l’antique Babylone.

Voici ce que le Seigneur disait à propos de cette Babylone, par la bouche du prophète Jérémie :

« Babylone a été dans la main de l’Éternel une coupe d’or enivrant toute la terre ; les nations ont bu de son vin, c’est pourquoi les nations ont été comme en délire. »

La femme dont il est question dans l’Apocalypse, cette Babylone, tient également une coupe pour enivrer les nations. L’Ancien Testament n’est que l’ombre des choses à venir.

La Babylone de l’Apocalypse  est la réalité, pleinement dévoilée, démasquée, mise en lumière.

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